Du ciné contemporain >
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Dommage
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Paul Giamatti, célèbre acteur américain, est en pleine crise existentielle. Il se cherche, peinant même à trouver le ton juste lors des répétitions de sa prochaine pièce, "Oncle Vania" de Tchekhov. Il entend alors parler de la "Banque des Âmes", laboratoire privé proposant un service des plus intrigants : soulager les patients de leur âme. Séduit, il décide de procéder à son ablation. S'en suivent des réactions en chaîne dont il n'imaginait pas l'ampleur...
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Dans une prison verticale appelée « la fosse », des prisonniers sont répartis deux par deux sur des dizaines de niveaux.
Au sommet de la prison, des cuisiniers de haut rang concoctent des plats succulents. Chaque jour, ces plats sont déposés sur une plateforme qui parcourt la fosse verticalement de haut en bas en s'arrêtant brièvement à chaque étage.Grosse critique sociale avec quelques scènes horrifiques qui me paraissent justifiées.
Un coup de coeur.
La fin est sujette à débat. -
@Loposum
J'ai bien aimé le premier dans son aspect métaphorique et implacable, par contre le deuxième bof bof ça tourne quasiment au film d'action... -
Ah the Platform, la seule production Netflix que j' ai pas coupée avant la fin.
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@dada en effet t'es pas le premier à trouver le 2 sans intérêt. Je ne l'ai pas vu et ne pense pas le regarder du coup.
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@Loposum
Celui là te plairas peut-être, si tu ne l'as pas déjà vu...Un soir, alors qu’une comète s’apprête à passer au-dessus de Los Angeles, Em se rend à un dîner entre amis et s’aperçoit en route que son téléphone portable ne marche plus. Une fois arrivée, les personnes présentes évoquent des faits étranges qui se seraient produits dans des circonstances similaires...
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@dada Coherence ça me donne envie !
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@dada connais pas. Je le note, merci.
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@Dave2000
"J' ai encore regardé Mad Max pour la 4537eme fois"Tiens un petit film du dimanche soir (la vf passe bien si jamais).
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j'ai adoré the Platform même si j'ai pas compris la fin.
Une bonne analyse du fonctionnement de la société et de l'humain selon si il se réveille/né au bon étage/endroit ou non...on peut tous devenir un monstre et rien n'est inné ni acquis... -
@dada halala m' en souviens pas de celui ci
Un gros budget pour ce film avec Terrence Hill et Bud Spencer, les placements de produits sont fluides et le fan service aux petits oignons ravira le département marketing.
Une fable woke qui tente de moraliser les rapports sado-masochistes, un peu comme si j' avais écouté mon voisin bourré à la 8.6 H/24 discourir sur les bienfaits de la diététique et d' une hygiène de vie irréprochable.
Je ne désespère pas, le week-end n' est pas terminé ...