Du ciné contemporain >
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Moi un de mes films fav qui commence à bien dater c'est Bullhead
Je vous dit rien. Parceque si j'dis, je spoil bien sûr. Mais c'est beau, c'est fort
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@kaïzasauce Ah oui Bull Head, intense ... C' est vrai qu' il touche un point sensible ...
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Une dure soirée hier avec
Une romance horrifique mettant en scène deux alcooliques tireurs d' élite qui acceptent de garder une faille terrestre recélant peut-être un portail de l' enfer ou un autre truc olé olé, on sait pas.
Le film est tourné comme un patchwork de cinématiques de jeux vidéo (j' ai passé tout le métrage à faire des demi-quart arrière A+B>B-B-A sur la manette de mon cerveau) et pour situer cinématographiquement on est entre Left4dead, Resident Evil, Dooms3 et (spoiler)>PANG.
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@Dave2000 vue avec l'enfant, c'est un film popcorn j ai trouvé, l'enfant a bien aimé, c'est du no brain c'est certain , mais plein de ref qui font quand même un peu plaisir !
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No brain, t' y vas fort ! Il y a des détails hyper subtils et fondamentaux pour la toile de fond psychologique de ce chef d' oeuvre.
Le fait que la cabine au sommet de la tour de la nana ressemble à sa coupe de cheveux par exemple. -
(Encore un film que j’ai oublié de suivre, je faisais autre chose en même temps sans doute… mais ça me fait penser que j’avais bien aimer la série « le jeu de la dame » où joue l’actrice de ce film)
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Street trash (2024)
Après les films en forme de jeux vidéos sans manette il y aussi les films en forme d' émission TV de Hanouna.
Comment ça marche ? Le coeur ce sont les spots publicitaires avec des clochards qui fondent et l' accompagnement ce sont des dialogues écrits par un chimpanzé bourré à la bière et tournés par un babouin sous opiacés.
J' ai tenu bon une heure, promis la prochaine fois je reviens avec un film ...
La pub :
Le contenu :
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Dommage
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Paul Giamatti, célèbre acteur américain, est en pleine crise existentielle. Il se cherche, peinant même à trouver le ton juste lors des répétitions de sa prochaine pièce, "Oncle Vania" de Tchekhov. Il entend alors parler de la "Banque des Âmes", laboratoire privé proposant un service des plus intrigants : soulager les patients de leur âme. Séduit, il décide de procéder à son ablation. S'en suivent des réactions en chaîne dont il n'imaginait pas l'ampleur...
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Dans une prison verticale appelée « la fosse », des prisonniers sont répartis deux par deux sur des dizaines de niveaux.
Au sommet de la prison, des cuisiniers de haut rang concoctent des plats succulents. Chaque jour, ces plats sont déposés sur une plateforme qui parcourt la fosse verticalement de haut en bas en s'arrêtant brièvement à chaque étage.Grosse critique sociale avec quelques scènes horrifiques qui me paraissent justifiées.
Un coup de coeur.
La fin est sujette à débat. -
@Loposum
J'ai bien aimé le premier dans son aspect métaphorique et implacable, par contre le deuxième bof bof ça tourne quasiment au film d'action... -
Ah the Platform, la seule production Netflix que j' ai pas coupée avant la fin.
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@dada en effet t'es pas le premier à trouver le 2 sans intérêt. Je ne l'ai pas vu et ne pense pas le regarder du coup.
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@Loposum
Celui là te plairas peut-être, si tu ne l'as pas déjà vu...Un soir, alors qu’une comète s’apprête à passer au-dessus de Los Angeles, Em se rend à un dîner entre amis et s’aperçoit en route que son téléphone portable ne marche plus. Une fois arrivée, les personnes présentes évoquent des faits étranges qui se seraient produits dans des circonstances similaires...
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@dada Coherence ça me donne envie !
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@dada connais pas. Je le note, merci.
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@Dave2000
"J' ai encore regardé Mad Max pour la 4537eme fois"Tiens un petit film du dimanche soir (la vf passe bien si jamais).
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j'ai adoré the Platform même si j'ai pas compris la fin.
Une bonne analyse du fonctionnement de la société et de l'humain selon si il se réveille/né au bon étage/endroit ou non...on peut tous devenir un monstre et rien n'est inné ni acquis... -
@dada halala m' en souviens pas de celui ci
Un gros budget pour ce film avec Terrence Hill et Bud Spencer, les placements de produits sont fluides et le fan service aux petits oignons ravira le département marketing.
Une fable woke qui tente de moraliser les rapports sado-masochistes, un peu comme si j' avais écouté mon voisin bourré à la 8.6 H/24 discourir sur les bienfaits de la diététique et d' une hygiène de vie irréprochable.
Je ne désespère pas, le week-end n' est pas terminé ...